Mark Zuckerberg ment sur la modération du contenu au visage de Joe Rogan

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Je vais vous épargner l'expérience d'écouter l'un des hommes les plus riches du monde se plaindre et je vais vous le dire directement : L'interview de Mark Zuckerberg dans The Joe Rogan Experience est pleine de mensonges.

Zuckerberg, PDG de la société mère de Facebook, Meta, donne le ton dès le début : « Je pense qu'à un certain niveau, on ne commence l'une de ces entreprises que si l'on croit en donnant une voix aux gens, n'est-ce pas ? »

Malheureusement, je ne suis pas né hier, et je me souviens de la première tentative de Zuckerberg pour devenir riche : FaceMash, un clone de HotOrNot où il a téléchargé des photos de ses camarades étudiantes pour être notées — sans leur consentement. "Donner une voix aux gens" est une façon de décrire cela, je suppose. Personnellement, je l'appellerais "des conneries de pervers."

Si vous pouvez vous en sortir avec les petites conneries, vous pouvez vous en sortir avec les grandes conneries, n'est-ce pas ?

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L'interview de Mark Zuckerberg sur le podcast de Joe Rogan est critiquée pour ses mensonges et son manque de transparence. Zuckerberg, PDG de Meta, évoque la nécessité de donner une voix aux gens, mais son passé, notamment avec FaceMash, soulève des doutes sur ses intentions. Il minimise les critiques sur la modération de contenu, qualifiant les interventions gouvernementales de 'censure', tout en omettant de mentionner la pression constante des conservateurs sur Facebook. Il affirme que les fact-checkers étaient biaisés, sans fournir de preuves concrètes. De plus, il se plaint de la pression exercée par l'administration Biden, tout en évitant de reconnaître que de nombreuses décisions controversées ont été prises sous l'administration Trump. Les communications internes révèlent que Zuckerberg cherchait à blâmer la Maison Blanche pour ses choix de modération, mais ses tentatives de se distancier des critiques semblent peu convaincantes. En fin de compte, l'interview soulève des questions sur l'honnêteté de Zuckerberg et la manière dont Facebook gère la désinformation et la modération de contenu.